En écho au post précédent, je suis tombé (ici) sur cette merveille :
avec la légende suivante : “Cette année, les pluies qui se sont abattues au printemps sur la province de Jawzjan, dans le nord de l’Afghanistan, à l’ouest de la grande ville de Mazar-e Charif, ont permis la floraison de millions de coquelicots et autres fleurs sauvages à la frontière avec le Turkménistan. Une manne d’une beauté à couper le souffle qui prédit aux agriculteurs des vallées une belle récolte. À l’image de ce paysan qui inspecte lentement ses champs. Un îlot de paix aussi puisque la province de Jawzjan n’est pas l’un des terrains habituels de l’insurrection menée par les talibans, chassés du pouvoir à la fin 2001, qui est active essentiellement dans l’est et dans le sud du pays. (Zabi/Xinhua/Xinhua Press/Corbis)”
Voilà.
Tandis que nous nous battons dans la violence la plus extrême pour déterminer qui jouira sans entrave des fruits dérisoires de la domination de l’homme sur l’homme (et souvent hélas, surtout dans ce contexte, de l’homme sur la femme !), tandis que nous conspirons sans cesse contre nous-mêmes pour fuir la connaissance et imposer la division au cœur même de l’humanité, niant ainsi ce qui en constitue l’essence même, tandis que nous nous enfermons dans les tranchées profondes de l’ignorance et de la malveillance, dans la vallée d’à côté, la Terre nous fait don de sa grâce et de sa légèreté, offrant une fois de plus à nos cœurs une leçon de bonté, de splendeur et d’harmonie.
Saurons-nous l’entendre ? Et répondre !
Merci la Terre, merci pour la beauté !
ET
Je n’ai pas resisté
si vous voulez que je suprimes votre texte de mon blog dite le moi
dharmika